Je voudrais retrouver l'envie d'écrire
Pouvoir à nouveau me poser devant mon cahier et laisser les mots s'aligner naturellement sous ma plume.
J'aimerais avoir à nouveau la sensation que ce que je raconte n'est pas que futilité et inepties.
Alors je me laisse le temps... Le temps que ça revienne.
Je patiente... en vain.
Parfois j'aligne quelques phrases et puis... tout se mélange... tout est décousu.
Ma vie est-elle si décousue en ce moment ?
A moins qu'il y ait des choses que je n'ai tout simplement pas envie de livrer ici.
C'est quand même un comble. C'est mon blog, et je l'ai crée justement pour pouvoir y déverser mes états d'âmes, y poser mes question existentielles ou non... Et voilà que je me censure.
Il m'arrive quelquefois de regretter le temps où j'étais anonyme, où je n'étais qu'un pseudo, où ce que je disais ne pouvait avoir d'incidence sur personne, où mes yeux n'avaient pas croisé certains des votres...
Je suis loin de regretter de connaître les personnes que vous êtes mais plutôt les lecteurs qui sont en vous.
Pourtant ma chouchoune et ma maman ont l'adresse de ce blog, lisent mes écritures et, étrangement, cela ne me dérange pas le moins du monde, et cela ne m'empêche pas d'y avoir dit ce que j'avais sur le coeur.
Mais aujourd'hui c'est différent...
Ce que je pourrais raconter, les questions que je pourrais vous donner à débattre, les problèmes que je pourrais soulever pourraient avoir une incidence sur d'autres personnes, et finalement, pas tellement parce que vous me connaissez moi, mais plus parce que vous la (les) connaissez elle(s).
Alors pour le moment, mon cerveau fait un blocage et refuse de construire un papier cohérent.
Ca me ferait pourtant tellement de bien d'arriver à l'écrire !
J'aimerais avoir à nouveau la sensation que ce que je raconte n'est pas que futilité et inepties.
Alors je me laisse le temps... Le temps que ça revienne.
Je patiente... en vain.
Parfois j'aligne quelques phrases et puis... tout se mélange... tout est décousu.
Ma vie est-elle si décousue en ce moment ?
A moins qu'il y ait des choses que je n'ai tout simplement pas envie de livrer ici.
C'est quand même un comble. C'est mon blog, et je l'ai crée justement pour pouvoir y déverser mes états d'âmes, y poser mes question existentielles ou non... Et voilà que je me censure.
Il m'arrive quelquefois de regretter le temps où j'étais anonyme, où je n'étais qu'un pseudo, où ce que je disais ne pouvait avoir d'incidence sur personne, où mes yeux n'avaient pas croisé certains des votres...
Je suis loin de regretter de connaître les personnes que vous êtes mais plutôt les lecteurs qui sont en vous.
Pourtant ma chouchoune et ma maman ont l'adresse de ce blog, lisent mes écritures et, étrangement, cela ne me dérange pas le moins du monde, et cela ne m'empêche pas d'y avoir dit ce que j'avais sur le coeur.
Mais aujourd'hui c'est différent...
Ce que je pourrais raconter, les questions que je pourrais vous donner à débattre, les problèmes que je pourrais soulever pourraient avoir une incidence sur d'autres personnes, et finalement, pas tellement parce que vous me connaissez moi, mais plus parce que vous la (les) connaissez elle(s).
Alors pour le moment, mon cerveau fait un blocage et refuse de construire un papier cohérent.
Ca me ferait pourtant tellement de bien d'arriver à l'écrire !