J'ai pas eu ma dose !
Je reviens d'un week-end en famille.
Un vrai week-end, avec deux jours qui se suivent.
Le retour aux sources, ça a du bon, justement parce qu'on se ressource...
On prend plein d'amour, on garde en mémoire le son des rires de chacun pour ne pas les oublier jusqu'à la prochaine fois.
On profite du repas, de chaque mot prononcé, de chaque sourire et de chaque élan d'émotion...
Oui on en profite, on en use et on en abuse !
Je n'ai pas vraiment pu en abuser, la cause au staphylocoque.
Je n'ai pas distribué tous mes câlins habituels, pas fait tous les bisous de circonstance, mais ça ne m'a pas empêcher de me remplir de ma famille.
De ma famille à la fois complexe et belle. Complexe à cause de tant de caractères différents et belle par la complémentarité de ces caractères.
Une famille exactement comme je l'aurais souhaité... Ca tombe bien, c'est la mienne et je l'aime !
Et même sans bisous ni câlins, j'ai pu faire ma tante gâteuse.
J'ai offert un pardessus en ciré rose fuschia à ma nièce qui ne l'a pas quitté de l'après-midi depuis le moment où elle l'a dépaqueté... et j'étais heureuse. Elle crevait de chaud et j'étais heureuse (tante indigne va !).
Heureuse aussi de partager avec elle ma passion.
Le samedi matin je lisais le papier de Morticia... Quand elle a entendu la musique, la bougnette a levé la tête et s'est mise à bouger au rythme des "percussions" puis est venu voir ce que je regardais... et ne cessait de me demander "Encore".
Depuis, elle adore les gens qui font de la musique avec leurs chaussures... Alors moi ? Ben moi, en tant que tante gâteuse qui se respecte je l'emmènerai voir un spectacle de gens qui font de la musique avec leurs chaussures et me réserverait le droit de regarder seule son immense sourire à ce moment là.
Alors oui, j'ai profité, mais j'ai pas eu ma dose.
Pas assez pour compenser tout le temps que j'avais passé loin d'eux et celui que je passerai encore loin d'eux jusqu'à la prochaine réunion de famille.
Ce week-end j'étais là-bas en "célibataire" puisque Robinson est remonté dans le nord pour les vendanges.
Et, qu'il n'en prenne pas ombrage, mais je crois que j'en avais besoin. Besoin de me retrouver seule avec les miens. Surement l'habitude de ces deux dernières années de célibat dont il me reste maintenant, parfois, des envies de solitude.
Ce n'est pas contre lui, ce n'est contre personne, c'est juste pour moi.
Aujourd'hui je suis donc rentrée chez moi, retrouver ma Bamboo que j'avais abandonné pour l'occasion et qui n'a rien trouvé de mieux que de ne faire AUCUNE connerie pendant mon absence... Quand je vous dis que ce chat est parfait !
Mais je sens comme un gros vide, il manque ma famille à ma vie.
Allez, plus que deux ans, j'aurai un métier et je pourrai aller où je veux !
Finalement, deux jours, c'est pas assez !
Un vrai week-end, avec deux jours qui se suivent.
Le retour aux sources, ça a du bon, justement parce qu'on se ressource...
On prend plein d'amour, on garde en mémoire le son des rires de chacun pour ne pas les oublier jusqu'à la prochaine fois.
On profite du repas, de chaque mot prononcé, de chaque sourire et de chaque élan d'émotion...
Oui on en profite, on en use et on en abuse !
Je n'ai pas vraiment pu en abuser, la cause au staphylocoque.
Je n'ai pas distribué tous mes câlins habituels, pas fait tous les bisous de circonstance, mais ça ne m'a pas empêcher de me remplir de ma famille.
De ma famille à la fois complexe et belle. Complexe à cause de tant de caractères différents et belle par la complémentarité de ces caractères.
Une famille exactement comme je l'aurais souhaité... Ca tombe bien, c'est la mienne et je l'aime !
Et même sans bisous ni câlins, j'ai pu faire ma tante gâteuse.
J'ai offert un pardessus en ciré rose fuschia à ma nièce qui ne l'a pas quitté de l'après-midi depuis le moment où elle l'a dépaqueté... et j'étais heureuse. Elle crevait de chaud et j'étais heureuse (tante indigne va !).
Heureuse aussi de partager avec elle ma passion.
Le samedi matin je lisais le papier de Morticia... Quand elle a entendu la musique, la bougnette a levé la tête et s'est mise à bouger au rythme des "percussions" puis est venu voir ce que je regardais... et ne cessait de me demander "Encore".
Depuis, elle adore les gens qui font de la musique avec leurs chaussures... Alors moi ? Ben moi, en tant que tante gâteuse qui se respecte je l'emmènerai voir un spectacle de gens qui font de la musique avec leurs chaussures et me réserverait le droit de regarder seule son immense sourire à ce moment là.
Alors oui, j'ai profité, mais j'ai pas eu ma dose.
Pas assez pour compenser tout le temps que j'avais passé loin d'eux et celui que je passerai encore loin d'eux jusqu'à la prochaine réunion de famille.
Ce week-end j'étais là-bas en "célibataire" puisque Robinson est remonté dans le nord pour les vendanges.
Et, qu'il n'en prenne pas ombrage, mais je crois que j'en avais besoin. Besoin de me retrouver seule avec les miens. Surement l'habitude de ces deux dernières années de célibat dont il me reste maintenant, parfois, des envies de solitude.
Ce n'est pas contre lui, ce n'est contre personne, c'est juste pour moi.
Aujourd'hui je suis donc rentrée chez moi, retrouver ma Bamboo que j'avais abandonné pour l'occasion et qui n'a rien trouvé de mieux que de ne faire AUCUNE connerie pendant mon absence... Quand je vous dis que ce chat est parfait !
Mais je sens comme un gros vide, il manque ma famille à ma vie.
Allez, plus que deux ans, j'aurai un métier et je pourrai aller où je veux !
Finalement, deux jours, c'est pas assez !